TheraVie Cliniques et réseau professionnel multi-disciplinaire Tue, 23 Oct 2018 00:03:33 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.9.9 L’iridologie (Science de l’iris) – L’œil, miroir de la Santé /liridologie-science-de-liris-loeil-miroir-de-la-sante/ Wed, 11 Mar 2015 17:16:01 +0000 /?p=371 oeil

Les yeux sont le miroir de l’âme. Ce sont vos yeux que l’on regarde pour connaître votre pensée, votre état psychique et vos réactions mais votre passé émotionnel et l’avenir de votre santé physique y est également inscrit.

La science de l’iridologie est basée sur l’étude de la partie colorée de l’œil appelée iris, soit l’une des structures les plus complexes du corps. Cette méthode permet d’observer l’état organique, génétique et psychique d’un individu à partir des taches et signes qui y sont inscrits. Elle permet d’observer la condition réflexe des organes et des systèmes qui composent l’organisme. Ces signes représentent une image détaillée du corps dans son ensemble, c’est-à-dire, sa force ou sa constitution, ses zones de congestion ou d’accumulation de déchets toxiques et ses conditions inhérentes de résistance et de faiblesse.

L’iridologie constitue un moyen simple de voir ce qui se passe dans l’organisme comme la présence et les sources d’acidité, les tensions nerveuses, les conditions glandulaires, les déficiences nutritionnelles, la descente d’organes, etc. Elle permet d’observer la condition des systèmes digestif, respiratoire, nerveux, circulatoire et lymphatique.

L’iridologie constitue l’une des méthodes les plus complètes de dépistage au niveau préventif à la portée de tous. Elle ne prétend pas remplacer un examen médical mais peut être un bon complément. Il est important de comprendre que l’iridologie ne diagnostique pas la maladie car l’analyse démontre la condition présente des tissus vitaux et cela avant que le mal se soit installé. En effet, l’iris peut indiquer le début d’un problème bien avant que les symptômes de la maladie ne soient présents. L’iridologie devient un puissant outil pour l’amélioration de la santé et la régénération des tissus. À partir de ce qu’on observe dans l’iris, on peut retrouver l’origine du problème.

L’iridologie met donc l’emphase sur le traitement de l’individu et non sur la maladie elle-même. N’oublions pas que l’on ne tombe pas malade, mais que l’on glisse lentement vers la maladie.

Elle s’adresse donc à toute personne désireuse de connaître l’état de son organisme ainsi que ses faiblesses, afin d’améliorer son état de santé générale par des méthodes naturelles, telles que des changements dans les habitudes alimentaires, dans le mode de vie de même que dans la façon de penser et de gérer les émotions, etc. Bref, l’être humain est un tout indissociable et c’est pourquoi la guérison nécessite de considérer toutes les composantes de l’être.

Grâce aux informations recueillies par l’analyse iridologique, un programme personnalisé à chaque individu peut être élaboré afin de prévenir la manifestation éventuelle de la maladie. À ce niveau, l’iridologie offre une perspective unique à la pratique d’une approche préventive et thérapeutique qui s’oriente vers des méthodes curatives naturelles.

Nathalie Veilleux, B.Sc.A., n.d.
Naturopathe
T : 418-650-1230
[email protected]

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Comment faire la différence entre ce qui est sain et ce qui l’est moins en matière d’alimentation et d’activité physique? /comment-faire-la-difference-entre-ce-qui-est-sain-et-ce-qui-lest-moins-en-matiere-dalimentation-et-dactivite-physique/ Wed, 17 Dec 2014 18:28:16 +0000 /?p=375 aliments-bouteille-ruban

Le but de cet article est de répondre à une question souvent demandée quand on parle d’alimentation et d’activité physique : quelle est la différence entre ce qui est « sain » et ce qui est « malsain » ? Nous entendons souvent, voire de plus en plus, parler de l’importance de faire de l’activité physique et d’avoir une saine alimentation. Et avec raison, puisqu’on en connait maintenant les nombreux bienfaits physiques et psychologiques. Ma collègue Isabelle SoucyChartier a d’ailleurs écrit une chronique intéressante à ce sujet, abordant l’impact de l’activité physique sur la santé psychologique. Or, ayant aujourd’hui accès à une multitude d’informations sur le sujet, plusieurs se demandent si les préoccupations qui les habitent concernant leurs habitudes au niveau de l’activité physique et de l’alimentation sont « normales » ou, à l’inverse, s’ils devraient envisager d’aller consulter. Comment départager ce qui est sain, de ce qui l’est moins ?

Il est vrai qu’il est parfois difficile d’établir une limite claire pour déterminer si un comportement ou une attitude est plutôt sain(e) ou plutôt malsain(e). Il y a toutefois certains points de repère importants auxquels vous pouvez réfléchir si vous vous posez la question; pour vous-même, pour un proche ou pour un client.

Il est primordial de (1) mettre ces habitudes et comportements en contexte et de s’attarder à ce qu’il y a derrière ceux-ci : qu’est-ce qui motive la personne à agir ainsi ? Le fait-elle pour sa santé physique, par exemple prévenir le développement d’une maladie héréditaire ? Par plaisir ? Pour être à la mode et sentir qu’elle fait partie de la gang ? Pour l’apparence physique ? Allez plus loin dans la réflexion : qu’elles sont les motivations réelles ? Il peut parfois y avoir un écart entre ce que l’individu va rapporter comme étant ses motivations et ses motivations réelles, plus profondes et parfois même inconscientes. Certains sont même convaincus qu’ils s’entrainent et/ou appliquent une certaine diète alimentaire pour leur santé d’abord, alors qu’une réflexion sur le sujet les emmène à réaliser qu’ils le font pour d’autres raisons, souvent pour l’apparence physique, parce qu’ils ont peur de ne pas être désirables, appréciés, ou à la hauteur par exemple.

Ces motivations ne sont bien sûr pas malsaines en soit, il est important de le mentionner, mais peuvent à la longue prédisposer l’individu à adopter des habitudes qui seront potentiellement nuisibles lorsqu’elles deviendront (2) rigides (impossible pour la personne de déroger de ses habitudes ou, si elle le fait, présente une détresse importante), envahissantes (quand les préoccupations concernant l’activité physique et l’alimentation prennent beaucoup de place, voir toute la place, par ex., jusqu’à s’isoler socialement) et source d’une souffrance importante pour l’individu et/ou pour ses proches. Il arrive que la personne elle-même ne soit pas en contact avec la détresse qui sous-tend ses habitudes, mais la présence d’une détresse chez les proches (par ex., peurs et inquiétudes, colère, sentiment d’impuissance, etc.) est un indicateur que les habitudes de la personne en question sont de moins en moins saines.

On peut également s’attarder à (3) la sévérité des symptômes. L’individu se sent-il coupable de ne pas aller à l’entrainement prévu ou bien de manger au restaurant ? Plus loin dans la réflexion : cette culpabilité est-elle quasi absente ? D’une durée de quelques minutes ? De quelques heures ? D’une journée entière ? De quelques jours ? On peut y voir le degré d’envahissement et la souffrance vécue en s’attardant à cette question. Il faut noter également que certains vont vivre de la colère, d’autre un sentiment de déprime. Peu importe que ce soit de la culpabilité, de la colère ou de la déprime, il s’agit d’émotions négatives reliées au fait de se voir déroger de ses habitudes. Ces émotions négatives laissent supposer que la personne a fondamentalement peur de prendre du poids ou de perdre sa masse musculaire. Cette crainte est souvent reliée à des enjeux psychologiques plus profonds qu’il est possible d’identifier dans le cadre d’une psychothérapie.

Finalement, dans quelle mesure les préoccupations et habitudes de l’individu entrainent un (4) dysfonctionnement dans son quotidien ? C’est-à-dire, une perte des repères habituels dans des domaines importants, tels qu’avoir un réseau social satisfaisant, s’investir dans plusieurs sphères comme les études, le travail, la famille, les loisirs, etc. Un exemple courant : l’individu s’isole de son entourage au point où son réseau s’effrite au fil du temps.

La réflexion est volontairement axée sur les manifestations permettant d’identifier si des préoccupations, comportements et habitudes en lien avec l’activité physique et l’alimentation sont dans le registre du « malsain », mais l’inverse est aussi vrai : plusieurs présentent un certain niveau de préoccupations et ont à cœur d’entretenir certaines habitudes d’activité physique et d’alimentation sans jamais présenter les éléments mentionnés plus haut (détresse, réactions des proches, fonctionnement quotidien affecté, etc.). Ainsi, et c’est pourquoi je me réserve de mettre le terme malsain entre guillemets, il importe de positionner les habitudes en lien avec l’activité physique et l’alimentation sur un continuum, où se trouve à l’extrémité gauche une absence de préoccupations, ce qui est plutôt rare, et à l’extrémité droite, des préoccupations marquées entrainant souffrance et dysfonctionnement, où l’on parle ici d’un trouble des conduites alimentaires. Quand on sait que l’anorexie est présente chez 0,4 % de la population générale, et que la prévalence de la boulimie se situe entre 1 et 1,5 % (APA, 2013), on peut en conclure qu’ils sont eux aussi relativement rares, mais non moins importants. Entre les deux pôles du continuum se trouve une multitude de comportements et d’attitudes plus ou moins problématiques.

En terminant : quand consulter ?

Dans une certaine mesure, il n’y a pas de bonnes ou de moins bonnes raisons pour décider de consulter un thérapeute. Cette décision repose globalement sur une volonté de réfléchir autrement sur soi, approfondir sa compréhension de certains comportements, attitudes ou patterns personnels qu’on aimerait changer, et se réapproprier du pouvoir sur sa vie. Dans cette optique, il s’agit là d’une démarche accessible pour tous. Bien sûr, si vous vous reconnaissez ou reconnaissez un proche ou un client dans cet article, l’idée de consulter ou de référer est certainement une avenue à considérer sérieusement. Si vous avez des questions ou des commentaires, il me fera plaisir d’y répondre.

Isabelle LABRECQUE, D.Psy | Psychologue
Tel.: (418) 999-9470
[email protected]

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Comment faire la différence entre ce qui est sain et ce qui l'est moins en matière d'alimentation et d'activité physique? /comment-faire-la-difference-entre-ce-qui-est-sain-et-ce-qui-lest-moins-en-matiere-dalimentation-et-dactivite-physique-2/ Wed, 17 Dec 2014 18:28:16 +0000 /?p=375 aliments-bouteille-ruban
Le but de cet article est de répondre à une question souvent demandée quand on parle d’alimentation et d’activité physique : quelle est la différence entre ce qui est « sain » et ce qui est « malsain » ? Nous entendons souvent, voire de plus en plus, parler de l’importance de faire de l’activité physique et d’avoir une saine alimentation. Et avec raison, puisqu’on en connait maintenant les nombreux bienfaits physiques et psychologiques. Ma collègue Isabelle SoucyChartier a d’ailleurs écrit une chronique intéressante à ce sujet, abordant l’impact de l’activité physique sur la santé psychologique. Or, ayant aujourd’hui accès à une multitude d’informations sur le sujet, plusieurs se demandent si les préoccupations qui les habitent concernant leurs habitudes au niveau de l’activité physique et de l’alimentation sont « normales » ou, à l’inverse, s’ils devraient envisager d’aller consulter. Comment départager ce qui est sain, de ce qui l’est moins ?
Il est vrai qu’il est parfois difficile d’établir une limite claire pour déterminer si un comportement ou une attitude est plutôt sain(e) ou plutôt malsain(e). Il y a toutefois certains points de repère importants auxquels vous pouvez réfléchir si vous vous posez la question; pour vous-même, pour un proche ou pour un client.
Il est primordial de (1) mettre ces habitudes et comportements en contexte et de s’attarder à ce qu’il y a derrière ceux-ci : qu’est-ce qui motive la personne à agir ainsi ? Le fait-elle pour sa santé physique, par exemple prévenir le développement d’une maladie héréditaire ? Par plaisir ? Pour être à la mode et sentir qu’elle fait partie de la gang ? Pour l’apparence physique ? Allez plus loin dans la réflexion : qu’elles sont les motivations réelles ? Il peut parfois y avoir un écart entre ce que l’individu va rapporter comme étant ses motivations et ses motivations réelles, plus profondes et parfois même inconscientes. Certains sont même convaincus qu’ils s’entrainent et/ou appliquent une certaine diète alimentaire pour leur santé d’abord, alors qu’une réflexion sur le sujet les emmène à réaliser qu’ils le font pour d’autres raisons, souvent pour l’apparence physique, parce qu’ils ont peur de ne pas être désirables, appréciés, ou à la hauteur par exemple.
Ces motivations ne sont bien sûr pas malsaines en soit, il est important de le mentionner, mais peuvent à la longue prédisposer l’individu à adopter des habitudes qui seront potentiellement nuisibles lorsqu’elles deviendront (2) rigides (impossible pour la personne de déroger de ses habitudes ou, si elle le fait, présente une détresse importante), envahissantes (quand les préoccupations concernant l’activité physique et l’alimentation prennent beaucoup de place, voir toute la place, par ex., jusqu’à s’isoler socialement) et source d’une souffrance importante pour l’individu et/ou pour ses proches. Il arrive que la personne elle-même ne soit pas en contact avec la détresse qui sous-tend ses habitudes, mais la présence d’une détresse chez les proches (par ex., peurs et inquiétudes, colère, sentiment d’impuissance, etc.) est un indicateur que les habitudes de la personne en question sont de moins en moins saines.
On peut également s’attarder à (3) la sévérité des symptômes. L’individu se sent-il coupable de ne pas aller à l’entrainement prévu ou bien de manger au restaurant ? Plus loin dans la réflexion : cette culpabilité est-elle quasi absente ? D’une durée de quelques minutes ? De quelques heures ? D’une journée entière ? De quelques jours ? On peut y voir le degré d’envahissement et la souffrance vécue en s’attardant à cette question. Il faut noter également que certains vont vivre de la colère, d’autre un sentiment de déprime. Peu importe que ce soit de la culpabilité, de la colère ou de la déprime, il s’agit d’émotions négatives reliées au fait de se voir déroger de ses habitudes. Ces émotions négatives laissent supposer que la personne a fondamentalement peur de prendre du poids ou de perdre sa masse musculaire. Cette crainte est souvent reliée à des enjeux psychologiques plus profonds qu’il est possible d’identifier dans le cadre d’une psychothérapie.
Finalement, dans quelle mesure les préoccupations et habitudes de l’individu entrainent un (4) dysfonctionnement dans son quotidien ? C’est-à-dire, une perte des repères habituels dans des domaines importants, tels qu’avoir un réseau social satisfaisant, s’investir dans plusieurs sphères comme les études, le travail, la famille, les loisirs, etc. Un exemple courant : l’individu s’isole de son entourage au point où son réseau s’effrite au fil du temps.
La réflexion est volontairement axée sur les manifestations permettant d’identifier si des préoccupations, comportements et habitudes en lien avec l’activité physique et l’alimentation sont dans le registre du « malsain », mais l’inverse est aussi vrai : plusieurs présentent un certain niveau de préoccupations et ont à cœur d’entretenir certaines habitudes d’activité physique et d’alimentation sans jamais présenter les éléments mentionnés plus haut (détresse, réactions des proches, fonctionnement quotidien affecté, etc.). Ainsi, et c’est pourquoi je me réserve de mettre le terme malsain entre guillemets, il importe de positionner les habitudes en lien avec l’activité physique et l’alimentation sur un continuum, où se trouve à l’extrémité gauche une absence de préoccupations, ce qui est plutôt rare, et à l’extrémité droite, des préoccupations marquées entrainant souffrance et dysfonctionnement, où l’on parle ici d’un trouble des conduites alimentaires. Quand on sait que l’anorexie est présente chez 0,4 % de la population générale, et que la prévalence de la boulimie se situe entre 1 et 1,5 % (APA, 2013), on peut en conclure qu’ils sont eux aussi relativement rares, mais non moins importants. Entre les deux pôles du continuum se trouve une multitude de comportements et d’attitudes plus ou moins problématiques.

En terminant : quand consulter ?

Dans une certaine mesure, il n’y a pas de bonnes ou de moins bonnes raisons pour décider de consulter un thérapeute. Cette décision repose globalement sur une volonté de réfléchir autrement sur soi, approfondir sa compréhension de certains comportements, attitudes ou patterns personnels qu’on aimerait changer, et se réapproprier du pouvoir sur sa vie. Dans cette optique, il s’agit là d’une démarche accessible pour tous. Bien sûr, si vous vous reconnaissez ou reconnaissez un proche ou un client dans cet article, l’idée de consulter ou de référer est certainement une avenue à considérer sérieusement. Si vous avez des questions ou des commentaires, il me fera plaisir d’y répondre.
Isabelle LABRECQUE, D.Psy | Psychologue
Tel.: (418) 999-9470
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L’impact de l’activité physique sur la santé psychologique /limpact-de-lactivite-physique-sur-la-sante-psychologique/ Thu, 27 Dec 2012 18:34:49 +0000 /?p=378 nageuro

Plusieurs études démontrent que l’activité physique régulière a des impacts bénéfiques non seulement sur la santé physique, mais également sur la santé psychologique. L’activité physique, sous ses diverses formes, améliorerait l’humeur, réduirait le stress et les symptômes d’anxiété, augmenterait la créativité, améliorerait les fonctions cognitives et augmenterait le niveau d’énergie, outre tous les bienfaits sur la santé physique, le système cardiovasculaire et le système immunitaire.

Entre autres, il est reconnu que l’activité physique a le potentiel d’alléger les symptômes dépressifs. Les symptômes dépressifs amènent généralement une personne à se refermer sur soi-même, à s’isoler, à se retirer d’activités de la vie quotidienne, et à éviter de participer à des événements ou à des activités qui sont incompatibles avec leur humeur dépressive, pour peu à peu adopter un mode de vie qui est plutôt inactif. Ceci a pour effet d’empêcher la personne de vivre des situations qui peuvent être positives, agréables ou enrichissantes, créant ainsi un cercle vicieux à la baisse vers le maintien ou l’aggravation de la dépression. L’activité physique freinerait ce cercle vicieux en favorisant l’activation et non l’inactivité. Une méta-analyse rapporte que l’effet de l’activité physique serait même comparable à l’effet des antidépresseurs en ce qui concerne les symptômes dépressifs légers à modéré (Craft & Landers, 1998). Plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer l’effet bénéfique de l’activité physique sur les symptômes dépressifs (ex, hypothèse des monoamines, hypothèse du VO2 max, hypothèse thermogénique, etc.). Il est également probable que l’activité physique provoque des sentiments d’accomplissement positifs ainsi que des sentiments d’autoefficacités qui vont à l’encontre de la dépression. Le fait de s’activer, d’atteindre des objectifs, et de se retrouver dans des contextes sociaux pourrait renverser le cercle vicieux de la dépression, notion importante non seulement pour ceux accaparés par des symptômes dépressifs, mais également pour tous ceux qui souhaitent s’en protéger!

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